Identifier les insectes invasifs

Vous avez repéré des insectes à l’intérieur de votre habitation, au sous-sol ou dans le grenier? Vous croyez qu’il pourrait s’agir d’une infestation? Bien qu’il soit normal de trouver de temps à autre certains insectes dans la maison, la présence de certains, comme les punaises de lit et les blattes, est mauvais signe et nécessite de recourir sans tarder aux services d’un exterminateur professionnel.

Voici une description des espèces que vous pourriez apercevoir chez vous ou encore près de votre jardin qui vous aidera à mieux les identifier et les connaître.

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FOURMIS CHARPENTIÈRES

Les fourmis charpentières construisent leur nid en forant des galeries dans le bois. À l’extérieur, on peut en trouver dans les troncs d’arbres morts encore sur pied, les souches ou les grumes ou sous des troncs d’arbre gisants ou des pierres. Elles peuvent occasionnellement miner le bois sain, mais elles infestent habituellement les essences à bois mou comme le pin.

Comme elles préfèrent le bois humide et carié, leur présence dans une habitation peut révéler un problème d’humidité ou de pourriture. Leurs galeries sont beaucoup plus longues que celles forées par les termites. Les fourmis charpentières ne mangent pas le bois et l’éjectent à l’extérieur de leurs galeries sous forme de sciures. Apprenez comment exterminer les fourmis charpentières.

 

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BLATTES GERMANIQUES

Originaire d’Asie, la blatte germanique, mesurant de 13 à 16 mm une fois adulte, est de forme ovale et de couleur brune ou caramel. Ses ailes lui permettent de voler sur de courtes distances ou encore de planer, bien qu’elle se trouve la vaste majorité du temps au sol, où elle se déplace rapidement.

Elle se rencontre dans de très nombreux pays, surtout près ou dans les habitations. Elle envahit souvent en grand nombre les armoires de cuisine et les poubelles, à la recherche de nourriture, et affectionne la chaleur et l’humidité, dont celle des salles de bains. Il n’est pas rare qu’elle se cache dans les électroménagers, dans les murs et qu’elle se promène d’une pièce ou d’un appartement à l’autre sur la tuyauterie. En plus de se reproduire à rythme fulgurant, elle peut transmettre différentes maladies. Découvrez notre service d’extermination de coquerelles.

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BLATTES AMÉRICAINES  (coquerelles)

L’adulte mesure de 23 à 32 mm. Cette blatte est de couleur brune ferrugineuse uniforme, avec une tache claire sur le pronotum peu marqué. Les élytres et les ailes sont brun roux, un peu plus longs chez le mâle que chez la femelle. L’insecte peut voler sur de courtes distances, mais se déplace surtout au sol. Elle s’attaque à tous les produits comestibles ainsi qu’à la colle des reliures de livres. Elle s’attaque également à des papillons ou autres espèces sans carapaces. Découvrez notre service d’extermination de coquerelles.

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DERMESTES DU LARD

Ces insectes, dont le nom signifie « mangeurs de peau », sont fréquemment trouvés dans les habitations. Bien qu’il soit présent dans la nature, on remarque plus souvent le dermeste du lard dans les maisons. À l’extérieur, il passe l’hiver à l’abri dans les fissures de l’écorce des arbres.

Autrefois considéré comme un insecte de boucherie, ce dermeste infestait la viande entreposée. Avec l’arrivée de la réfrigération, son habitat s’est diversifié et on le trouve maintenant près de ses sources de nourriture dans les greniers, à l’intérieur des murs et des entre-toits, dans le garde‐manger, derrière les cuisinières ou dans les hottes.

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FOURMIS PHARAONS

Malgré ce que son nom pourrait suggérer, elle n’est pas originaire d’Égypte (mais plus probablement d’Afrique occidentale).

En climat tempéré, elle ne survit qu’à l’intérieur des bâtiments chauffés. Elle affectionne tout spécialement les serres tropicales et aussi les hôpitaux et autres établissements médico‐sociaux, les restaurants d’entreprise, etc.

Elle multiplie ses colonies par bourgeonnement, à l’instar de presque toutes les autres fourmis invasives de petite taille (par exemple Fourmi d’Argentine (Linepithema humile), petite fourmi de feu (Wasmannia auropunctata)), chaque nid « satellite » comprenant plusieurs reines pondeuses, ce qui rend son éradication très difficile une fois qu’elle est installée en nombre. On peut cependant contrôler sa croissance par des campagnes répétées d’appâts empoisonnés.

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VRILLETTES

Vrillette est le nom vernaculaire donné à certains petits coléoptères ravageurs du bois, de la famille des anobides.

Leurs larves creusent ou forent le bois, gagnant ainsi le nom d’« insectes foreurs ». Elles engendrent des dégâts importants aux meubles ou aux charpentes.

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PUNAISES DE LIT

Ce petit insecte brun rougeâtre, dont la longueur (5 mm) dépasse tout juste la largeur (3 mm), présente une forme aplatie, de sorte que le dessus et le dessous de son corps ne sont pas très espacés. Sous sa tête se trouve un petit tube qui lui permet d’aspirer les liquides.

Cet insecte n’est pas toujours facile à détecter, car il s’active surtout la nuit. Le jour, il se cache près des coutures du matelas (même s’il s’agit d’un lit d’eau). Lorsque l’infestation progresse ou que les humains ou les animaux ne sont plus accessibles, il se disperse un peu plus. On le retrouve alors dans de petites fissures dans les murs et le bois (comme le cadre du lit, le sommier, les meubles, le plancher ou les cadres de porte ou de fenêtre) où il pondra ses œufs. La punaise des lits peut également se dissimuler derrière les plinthes, sous la tapisserie ou les tableaux. Bien qu’elle se répande moins rapidement que les blattes entre les appartements, elle peut suivre les tuyaux et voyager entre ceux‐ci et même entre les maisons. Découvrez notre service d’extermination de punaises de lit.

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TÉNÉBRIONS MEUNIERS

Il est capable de vivre dans des denrées stockées très sèches, notamment dans la farine, d’où son nom de meunier.

Le ténébrion est omnivore et saprophage. Il se nourrit de déchets plus ou moins en voie de décomposition et contribue ainsi au recyclage des matières organiques : principalement des céréales et leurs produits dérivés comme le pain et les biscuits, mais aussi des fruits, des plumes, de la viande ou des insectes morts.

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TRAGODERMA

Dermeste du grain. La larve attaque le blé, le maïs, le sorgho, le riz, l’orge, les fruits séchés, les farines entreposés. Les adultes ne se nourrissent pas. On le trouve caché dans les fissures et les fentes. Il survit de longues périodes sans manger et résiste à des conditions plus sèches que les autres ravageurs des produits entreposés. Les larves peuvent entrer en diapause et survivre en conditions rigoureuses dans cet état.

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GUÊPES

La guêpe est jaune vif rayé de noir alors que l’abeille est plus brune (sauf l’abeille charpentière qui, elle, est toute noire).

Morphologie : L’abdomen et le corps de la guêpe sont très distincts, fins et peu poilus. Les abeilles, à l’inverse, sont plus compactes et poilues.

L’abeille possède au niveau de ses articles de la paire de pattes postérieures un article modifié appelé corbeille qui lui permet de transporter le pollen récolté, ce qui n’est pas le cas chez la guêpe.

La guêpe garde son dard et reste en vie quand elle pique alors que l’abeille perd son dard et meurt. Découvrez notre service d’extermination de guêpes.

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ABEILLES

Les abeilles sont des insectes qui vivent dans un arbre ou dans une ruche aussi appelée un nid d’abeilles. Cinquante mille abeilles peuvent habiter dans une seule ruche. Avec la cire qu’elles produisent, les abeilles fabriquent des rayons pour entreposer les œufs et le miel.

L’abeille est un insecte qui se nourrit de miel et de pollen. Elles butinent les fleurs, et en aspirent le nectar avec leur trompe. Elles se servent de leurs pattes antérieures pour collecter le pollen, qu’elles emmagasinent dans des sacs à pollen situés sur les pattes postérieures. Elles déposent leur cueillette dans une alvéole de la ruche pour qu’il soit mangé ou converti en miel.

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NACERDES

7–14 mm de long.

Brun jaune, l’extrémité des élytres (logement des ailes) noire.

Les larves ont besoin que le bois soit constamment humidifié de façon à ce que des champignons désagrègent les fibres du bois.

Deux principales causes d’infestation dans les bâtiments : bois de charpente touché par des infiltrations d’eau de pluie, et pièces de bois enterrées sous les fondations de béton et les zones piétonnes.

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PERCE-OREILLES

Les perce-oreilles ne vivent qu’un an. Ils hibernent en couples, tout juste sous la surface du sol, souvent à proximité des fondations des habitations. Le retour du temps doux les réveille. Au printemps, les femelles déposent jusqu’à 60 oeufs blanc perle de forme arrondie dans un nid aménagé dans les cinq premiers centimètres du sol. Après avoir chassé le mâle, elles surveillent les oeufs jusqu’à leur éclosion, puis s’occupent des jeunes (larves) pendant les deux premières semaines de leur existence.

Lorsqu’elles ont atteint environ 6 mm de longueur, les larves quittent le nid à la recherche de nourriture. Elles ressemblent de façon générale aux adultes, mais elles sont plus petites. Environ 20 % des femelles produisent une deuxième ponte en juin. Les larves issues de cette ponte apparaissent en juillet ou en août.

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CLOPORTES

Les cloportes sont des crustacés isopodes terrestres nocturnes et fuient la lumière. Certains, comme les cloportes vulgaires, réussissent à enrouler leur corps pour se protéger, ce qui contribue probablement à contrer l’évaporation. Plusieurs autres comportements des cloportes font état de leur grand besoin d’humidité. Ainsi, ils seraient moins actifs pendant les nuits venteuses où les pertes d’eau sont probablement plus importantes. Des uropodes (une sorte de tubes), situés à l’extrémité du corps leur permettent d’absorber ou de rejeter de l’eau. Les cloportes peuvent aussi percevoir les plus infimes changements dans le taux d’humidité, et ils ont aussi tendance à se regrouper. Finalement, contrairement aux insectes, ils ne sont pas recouverts d’une cuticule constituée de cire et muent en deux étapes, à quelques jours d’intervalle. Malgré tous ces ajustements, ils demeurent moins bien adaptés à ce stade de leur développement que d’autres animaux invertébrés qui ne vivent pas en milieu aquatique.

Les cloportes font preuve de thigmotactisme positif, c’est-à-dire qu’ils préfèrent être en contact avec une surface. Ainsi, à l’extérieur, on les retrouve sous une pierre, une écorce, un bout de bois ou sous des pots de fleurs qui viennent d’être arrosées. C’est aussi ce qui explique qu’on les observe souvent regroupés ensemble, quoiqu’ils puissent aussi être attirés par leur odeur. Ils peuvent être actifs toute l’année à l’intérieur, mais à l’extérieur, les adultes seront au repos pendant l’hiver.

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FOURMIS DES PAVÉS

Cette fourmi vit en colonie. Elle niche le plus souvent à l’extérieur, dans les fissures des trottoirs et des aires de stationnement, entre les dalles de pavé uni ou en bordure des patios. On y observe de petits monticules de terre que les fourmis ont excavés en creusant leurs galeries. On peut aussi retrouver le nid sous une pierre, un bout de bois ou du paillis. À l’occasion, elles s’attaquent aux fraises ou à d’autres cultures en mangeant les racines des jeunes plants. Elles sont plus actives la nuit et se nourrissent de substances grasses, de graines, d’insectes ou de leurs débris. La reine pond des oeufs qui se transforment éventuellement en adulte.

Les ouvrières assurent l’entretien et la défense du nid ainsi que les soins aux jeunes. Les individus reproducteurs ailés sont habituellement aperçus hors du nid au printemps ou à d’autres moments, dans des endroits chauffés. Cet éparpillement s’étend parfois sur plusieurs semaines.

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PSOQUES

Les psoques sont répandus dans le monde entier. Le Liposcelis bostrychophilus est l’une des espèces de Psocoptères les plus largement réparties. Il est adapté aux climats tempérés chauds et tropicaux. Il se nourrit de matières animales et végétales et de moisissures. Il se rencontre dans les entrepôts à céréales, les silos à grains, les habitations, les entrepôts, les installations de transformation et les musées. Il infeste le grain entreposé et les denrées emballées. Dans les habitations et les musées, il se nourrit de divers produits animaux et végétaux tels que les colles, le papier et les tissus. Il infeste souvent le grain très humide et s’alimente en groupes à la surface du grain en vrac. Il préfère les milieux humides.

Dans les musées et les habitations, ce psoque peut attaquer les livres, les articles en papier et les tissus humides. Il se nourrit des colles à base de matière végétale ou animale. En cas d’infestation grave, il peut contaminer les matières dont il se nourrit de ses exuvies et de ses déjections. Dans les silos, les passerelles à proximité des secteurs infestés peuvent être couvertes de psoques et devenir glissantes. Ce psoque peut également provoquer des allergies et des troubles respiratoires.

Ce psoque a besoin de températures élevées et d’une forte humidité (généralement plus de 60 %) pour se reproduire. Les œufs sont pondus au hasard et adhèrent à la source de nourriture sur laquelle ils ont été déposés.

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PUNAISES DU PIN (OCCIDENTAL DU CÔNE)

Leptoglossus occidentalis, aussi appelée la Punaise du pin, est une espèce phytophage se nourrissant des cônes de conifères en cours formation et également des graines contenues dans ces cônes. La Punaise Occidentale des Cônes utilise ses mandibules pour percer les cônes et sucer l’endosperme de la graine, causant une grande diminution du rendement et de la vitalité de celle-ci. Il s’attaque aux Pins Blancs, Pins Rouges, l’Épinette Blanche, et autres conifères. Pas de panique : malgré une taille respectable au regard de la plupart de ses cousines européennes et malgré son long rostre replié sous son corps, cet insecte est parfaitement inoffensif pour l’homme et les animaux.

De septembre à novembre, ces punaises cherchent un abri pour y passer l’hiver, pénétrant parfois dans les habitations.

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COCCINELLES ASIATIQUES

On reconnaît la coccinelle asiatique de par ses deux taches blanches près de sa tête ainsi que par la marque en forme de M derrière celle-ci. Elle peut être de couleur jaune, rouge, orangée ou même noire, alors que sa carapace peut compter jusqu’à 20 points… ou pas du tout. Sa taille est supérieure à celle de la coccinelle indigène du Québec, soit de 5 à 8 mm.

Contrairement à cette dernière, la coccinelle asiatique a parfois tendance à vouloir se réfugier en grand nombre à l’intérieur des maisons à l’approche de l’hiver.

 

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ARAIGNÉES

Possédant 8 pattes et 2 mandibules, plusieurs sortes d’araignées se trouvent communément dans nos maisons. Surnommées « araignées domestiques », ces espèces tissent leurs toiles notamment au niveau des plafonds et se nourrissent d’autres insectes qui vivent sournoisement sous nos toits. Bien qu’il arrive rarement qu’elles mordent l’humain même quand elles se sentent menacées, leur présence cause souvent un sentiment de dégoût. Alors qu’elles éclosent en grand nombre en septembre, elles tentent d’entrer à l’intérieur de nos demeures en octobre pour se protéger du froid. C’est donc surtout à cette période qu’on assiste à des problèmes d’infestation.

 

 

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PUCES

Alors que les ctenocephalides canis se nourrissent du sang de chiens, les ctenocephalides felis préfèrent celui des chats, mais toutes deux peuvent se nourrir de sang humain également. S’il court souvent à l’extérieur, votre animal de compagnie pourrait donc être à l’origine d’une infestation de puces à l’intérieur de chez vous.

De couleurs brune et noire, ces parasites de forme arrondie atteignent entre 2,5 et 5 mm de long au stade adulte. Leurs longues pattes arrière leur permettent de sauter des distances de plus de 50 cm. Vous pourrez les repérer plus facilement dans le pelage court de votre animal, soit au niveau de la tête et des oreilles ainsi que sur l’abdomen. Les larves se développent sur le sol, ce pourquoi vous pourriez en trouver sur les tapis, notamment.

Les puces peuvent transmettre des maladies et des bactéries à leurs hôtes : appelez un exterminateur si vous en détectez la présence chez vous.

 

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MOUCHES

La mouche domestique se reconnaît par sa taille, entre 4 et 7,5 mm, ainsi que par ses grands yeux rougeâtres et son abdomen rayé de bandes foncées. Elle pond jusqu’à 900 œufs durant sa vie, dont les larves blanches (ou asticots) peuvent atteindre 10 mm. Elle s’accouple dans les excréments et les aliments en décomposition. Dans certains cas, elle peut infester l’intérieur de résidences en grand nombre. Véritable nuisance, elle transmet une panoplie de bactéries et de maladies, dont la salmonelle, l’E. coli, des streptocoques et des vers parasitaires.

Quant à la mouche pollénie, plus foncée que celle domestique, elle peut mesurer jusqu’à 10 mm. À l’approche de l’hiver, elle cherche à rentrer dans les maisons par les ouvertures disponibles et se regroupe en grappes dans les greniers, les murs et les autres vides de construction. Puisqu’elle sécrète des phéromones d’agrégation incitant d’autres mouches à infester les lieux où elles se trouvent, il est important d’éliminer rapidement les essaims avant qu’ils ne deviennent trop importants.

 

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POISSONS D’ARGENT (lépismes argentés)

Insecte rampant plat et sans ailes, le poisson d’argent porte bien son nom : de couleur argentée, il possède deux antennes longues et minces sur sa tête ainsi que trois longs filaments à l’autre extrémité. Au moment de l’éclosion, son apparence est similaire à celle de l’adulte, à l’exception de sa taille, beaucoup plus petite que celle de ce dernier, pouvant atteindre 125 mm (ou 0,5 po). Les œufs, blanchâtres et ovales, mesurent quant à eux 1 mm.

Détritivore, il se nourrit de miettes, d’insectes morts et de colle pour papier peint, notamment. Actif la nuit, il aime particulièrement les endroits frais où l’humidité relative dépasse les 75 %, comme les éviers, les baignoires, les crevasses, les espaces vides dans les murs et les sous-sols.

La thermobie est un proche cousin du poisson d’argent, mais son corps, tacheté gris ou brun foncé, ne brille pas. Elle vit plutôt dans les endroits chauds et humides, comme les greniers, ou près des appareils qui génèrent de la chaleur.

 

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GRILLONS

De couleur noire ou brune, les grillons mesurent généralement entre 13 et 20 mm une fois adultes (les bébés leur ressemblent beaucoup, en étant plus petits). Le soir, ils émettent un son strident distinctif appelé stridulation.

Bien que leur aspect rappelle celui de la sauterelle, notamment en raison de leurs ailes et de leurs longues pattes arrière leur permettant de sauter, les grillons ont plus tendance à vouloir se réfugier dans les maisons à l’automne que celles-ci. Ils affectionnent particulièrement les espaces chauds, ce pourquoi vous risquez de les trouver derrière les appareils de chauffage et les radiateurs.

 

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GUÊPES NOIRES (pompiles)

D’une longueur d’environ 3 cm, la guêpe noire adulte possède de longues pattes arrière et des ailes noires, rougeâtres ou orangées. Son abdomen est relié au reste du corps par une mince taille, et son dard peut mesurer jusqu’à 1 cm. Contrairement aux autres espèces de guêpes, elle creuse parfois un nid en solitaire dans le sable ou se servira simplement d’araignées qu’elle aura chassées pour y déposer ses larves, qui se nourriront de leur chair. De son côté, l’adulte se nourrit plutôt de pollen et de nectar.

On la trouve un peu partout en province, particulièrement dans les forêts herbeuses où chênes et pins prolifèrent. Ses piqûres sont plus douloureuses que celles d’abeilles et peuvent être dangereuses pour ceux qui en sont allergiques. Découvrez notre service d’extermination de guêpes.

 

 

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ABEILLES

Bien connue de tous pour son miel, l’abeille se distingue par son corps velu jaune pâle rayé de noir (à ne pas confondre avec la guêpe, dont le jaune est plus vif). Adultes, les ouvrières mesurent entre 9 et 15 mm; les mâles, entre 15 et 17 mm; et les reines, entre 18 et 20 mm. Elle se nourrit principalement de nectar et de pollen. Il peut cependant arriver qu’elle pique pour se défendre si elle se sent menacée, représentant un grave danger chez les personnes allergiques.

Les essaims regroupent entre 20 000 et 80 000 abeilles, de là l’importance d’éviter de les éradiquer vous-même et de plutôt faire appel à un spécialiste si un nid se trouve dans un grenier, sous une corniche du toit de la maison ou encore dans un arbre près de celle-ci.

 

 

 

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